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Trois mois de rêve… quétaine, mais vrai!

11 décembre 2018

Par Catherine Jean

Catherine et moi

Un stage étudiant, c’est l’aboutissement des études, mais la première expérience en milieu de travail. C’est la genèse, le big bang, le tout début. Et moi, j’ai vécu ce stage chez Prose communication. Synthèse d’une grosse étape de ma vie qui, vous l’avez constaté par le titre, s’est terminée en beauté!

Donner la chance au coureur

J’ai eu le plaisir de participer à un stage étudiant d’une durée de trois mois chez Prose communication, au terme de mes études en langue française et révision professionnelle. Cette expérience hyper enrichissante m’a changée totalement.

Il faut dire que j’étais un tantinet rouillée, comme on le dit en bon français. En fait, cela faisait plus d’un an que je me cherchais un stage, sans succès, mais Julie Marie Dorval m’a donné cette chance de m’épanouir. Je ne peux que la remercier, car c’est grâce à elle que je suis bachelière à présent.

Un maudit beau défi

Lorsque Julie Marie m’a présenté les standards de qualité élevés de Prose communication, j’ai eu peur. Était-ce réaliste pour une étudiante en fin de programme comme moi? Je savais au départ que ce stage allait être un véritable défi, mais surtout une fierté à ajouter à mon CV. C’est pourquoi je me suis abandonnée au plaisir de lire, de comprendre, de réviser et d’écrire. Étant follement amoureuse des mots, ce n’était pas une lourde tâche pour moi!

Articles de blogue, articles de revue, slogans « punchés », refonte d’un site Web, rédaction, révision, correction d’épreuves! Je n’aurais pas pu faire plus varié! Et j’en suis extrêmement reconnaissante. Autant de travaux différents, c’est plutôt rare pour un stage étudiant.

Je me suis étonnée moi-même des textes au vocabulaire technique que j’ai pu livrer en toute confiance, en des délais plus qu’acceptables. C’est connu : c’est en forgeant qu’on devient forgeron. J’en suis la preuve même. Avec les bons outils et des conseils de feu, me voici aujourd’hui, prête à relever défi après défi, mon esprit toujours aiguisé, tel un crayon prêt à coucher des mots sur papier.

La suite?

Je prendrai assurément plaisir à livrer davantage d’idées de slogans piquants, de contenus trippants, de contrats qui n’ont pas l’allure de contrats, tellement ils sont agréables à remplir. Non seulement j’ai découvert, ou plutôt redécouvert, mes capacités littéraires, mais j’ai aussi trouvé en Julie Marie une mentore à l’écoute, une acolyte littéraire, une amie. C’est exactement ça, l’essence de Prose communication.